Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

"Marie", votre histoire exquise + épilogue

6 Janvier 2008 , Rédigé par Chana Publié dans #Histoires exquises - Reconstitution

Marie ou votre histoire exquise + Epilogue

Merci à tous pour vos participations qui me permettent aujourd'hui de publier VOTRE histoire exquise. Vous retrouverez mon épilogue à la fin du récit et....très vite le bêtisier tant attendu. Lol

Merci encore pour vos imaginations et votre implication. Vous pouvez retrouver le site de chacun des participants en cliquant sur son nom, sauf Patrice puisqu'il n'en a pas : 

Patrice   -   Ephemeridiae  -   Félix  -  Quichottine  -  Plume  -  Moâ Camomille  -  Ruegy  -  Danyboy  -  Azalaïs  -  Revelise  - Le Bigorneau  Sogo  - Sumi  -  Monetoile  -  Kirikino  -  Laglésine  -  Va l'r  - Jeanmich
Irène
  -  Polly

Pour un rappel du début de l'histoire c'est   ICI

Elle se met à lui parler... Bonjour petite marie, comme tu as l'air triste ce matin. Je sais à quoi tu penses, tu sais, mais dis-toi que je suis là pour t'aider, enfin j'espère que tu le comprendras. Tu as cette chance de pouvoir voir et entendre des êtres comme moi qui te guideront tout au long de ta vie ...

Marie relève les yeux de son muret et de ses tables de multiplication... Ce personnage, face à elle, elle le reconnaît, elle sait qui il est, il l'accompagne depuis tant de temps, dans ses rêveries... Pourtant, aujourd'hui, il semble différent : elle peut le toucher, elle peut le saisir, il n'est pas immatériel.

Marie n'a pas peur. Marie le regarde. Il est grand, monstrueux mais le fond de ses yeux est si beau, si profond ... Comme les yeux de son papa chéri qui est parti trop tôt, comme les yeux de son papa chéri qui se posaient sur elle, tellement rassurants, quand elle avait peur certains soirs de tous ces êtres étranges qui peuplaient sa petite chambre aux volets verts ...


Parée d'une longue robe claire, un halo lumineux accompagne cette silhouette qui ressemble à une femme, majestueuse et inquiétante à la fois...

... mais c'est bien un homme qui la regarde avec ses grands yeux et son sourire si étrange, tendre, doux, réconfortant et tellement pregnant en même temps. Il a cette force masculine doublée de la tendresse féminine qui déconcerte . Elle le connait, le reconnait et se decide enfin à lui poser la VRAIE question, celle qu'elle a toujours voulu lui poser dans ses rêves :

Bonjour Prince charmant,  tu viens m'enlever sur ton beau cheval blanc ? Comme dans les contes que me lit ma maman ?  Pourquoi ressembles-tu à une dame ? Je te croyais plus beau, sur les dessins des livres tu es vraiment différent !

Mais si tu es bien le prince, où est ton cheval ?
- Mon cheval ? Mais il est là, répondit le prince Pirlpin en désignant la magnifique licorne qui approchait tranquillement. Je te présente Blanche ma plus fidèle amie.

ça c'est ballot, tu es déja accompagné, et par une licorne ! Dans licorne il y a "lit "et il y a "corne" !  
Tu vas un peu vite en besogne . Et oui , je prends le temps comme il vient . Certains jours il va très vite, et d'autres jours il est d'une lenteur insupportable. Mais c'est le jeu . Les vrais maîtres du monde sont ceux qui maîtrisent le temps.... mais tu apprendras cela quand tu seras plus grande. Pour le moment, il te faut goûter, sentir, humer,palper, développer tous tes sens pour trouver ton rythme à toi, et te faire une idée sur celui de ceux que tu finiras par choisir de côtoyer, plutôt que de subir des présences hostiles, destructrices parfois. Alors tu commenceras ta vraie vie, celle du temps choisi .....

Marie hésite... On lui a toujours dit de ne pas parler aux inconnus... alors, monter sur une licorne et en suivre une, fût-il un prince du nom de Perlin... elle ne sait pas.

Pendant qu'elle tergiverse ainsi dans la cour de récréation, une dispute éclate et la maîtresse arrive pour séparer les adversaires...

Elle aperçoit Marie et lui intime l'ordre de descendre du muret !
"M'enfin ! elle pourrait tomber !"

Marie ne fait ni une ni deux...

en fait elle fait trois ! il avait fallu l'intervention de la maitresse pour qu'elle se décide à agir alors qu'il aurait été si simple de monter tous les 3 sur le mur ! Bon alors , maintenant , qu'est ce qu'on fait ? 

La maîtresse parlait mais Marie ne l'entendait plus, elle pensa qu'elle était devenue muette mais, en y faisant plus attention, la petite fille se rendit compte qu'elle n'entendait plus les cris des autres élèves.
Marie regarda Pirlpin qui lui tendait sa longue main osseuse et elle se retrouva assise sur le joli coussin de velours vert, brodé de fils d'or.

Mais comment est-ce possible ? On entendrait que ce qu'on veut ? On ne verrait que ce qu'on cherche ? On ne sentirait que ce qui nous touche ? On ne serait vraiment présent qu'à notre Vraie vie ? Autant de questions sur la vie qu'elle se posait naïvement sans vraiment avoir de réponses. Mais le fait de poser les questions ne lui indiquait-il pas justement les réponses à ces mêmes questions ?  Un bruit la sortit de sa reflexion ....... 

Elle se voyait là, assise avec les autres enfants, et elle se voyait également dans ce monde imaginaire. Comment pouvait-elle être à deux endroits différents, dans deux mondes différents ? Celui où il n'y avait pas de frontière, celui où la vie était plus stricte, à choisir entre les deux elle préféra monter sur la licorne qui l'emmena vers des horizons lointains, quand soudain .....

Elle aperçut Gédéon, le cheval ailé qui lui disait de le suivre, et les deux lutins et tous les bigorneaux et ausi la sirène avec ses coquillages ! Viens donc avec nous, c'est la grande marée qui va battre les flancs de ce bon vieux Mont St Michel ! Viens, nous ferons une course au dessus de la Baie et tous les badauds de la terre vont être bouche bée !!

quand soudain...
Elle se rappela que son pauvre père avait des dictons pour chaque situation. Là il aurait dit "il ne faut pas courir 2 lièvres à la fois" ou bien "il ne faut pas avoir le cul posé entre 2 chaises"... alors que faire ....

...eh bien il fallait qu'elle choississe...elle avait vraiment envie d'aller vers le Mont St Michel, elle y était déjà passée une fois avec ses parents...elle se souvint de l'abbaye tout en haut et elle avait regardé la vase ou les gens parfois s'enlisaient...Elle se dit que si elle pouvait survoler tout ça avec Gédéon,  les bigorneaux et la sirène, ça serait bien sympa..Oui c'est ça elle choisit le cheval ailé mais pourquoi ne pas convaincre la licorne de les accompagner ?

LE CHEVAL ailé AVEC SA CAVALIERE S'ENVOLE et curieusement file vers le monte-chargé tiré par d'anciens galériens. Les coups de fouets claquent si fort qu'elle les entend. Voyant la crainte de l'enfant,et bien sûr en guise de plaisenterie,  les pères fouettards augmentent la cadence. Arrivé en haut l'enfant descend et regarde. Après la peur du vol, la peur du vide.

Pour se donner du courage, Marie repense aux secondes qui ont précédé sa décision de suivre le cheval ailé quand elle découvrit qu'elle avait un nouveau petit copain.

Marie était quelque peu effrayée de voir ce grand homme se tenir devant elle..elle ne l'avait pas imaginé si grand, mais sa voix finit par apaiser sa crainte. Le père Noël en personne, triste de la voir seule et mise à l'écart, était venu lui apporter un peu de réconfort. Elle qui y croit encore si fort... Soudain une autre voix vint se mêler à leur petite conversation , un petit garçon voit ce qu'elle voit. Le bonheur de Marie se lit dans ses yeux... le père Noël les laisse ensemble, disparaît pour laisser place à une amitié.. Marie ne sera plus jamais seule pendant les récréations..Pierre l'accompagnera.. 

Elle commence à paniquer et, sans les licornes, les bigorneaux les pères fouettards et les autres que va-t-elle devenir ????? 

Mais voilà que soudain arrive Spidermichelle woman, l'araignée des espaces marins! Elle se balance de haut ..en bas..et ..hop...et...hop...à droite.. à gauche..elle s'enroule.. elle tourne.. elle contourne et tisse un extrordinaire trampoline géant ! Youhou ! s'écrie Marie et la Tyrolienne, dis, tu peux la faire la Tyrolienne? Yahou! Trala la  Ytou ! eh! vous en bas, vous m'entendez ? attention ! Faisez gaffe !(oui, elle connait ses tables de multiplication mais en conjugaison, c'est pas encore tout à fait ça!) ZZZZZaaaaarrriiiiive !!!!! (question élocution non plus d'ailleurs!)

Et Marie s'élança et glissa de plus en plus vite. A mi-chemin, Spidermichelle qui assurait le rôle de la Tyrolienne fut appelée pour une urgence urgente.
Sans prévenir elle s'élança et laissa choir la pauvre petite Marie qui s'amusait si bien. 
Marie dégringola et se retrouva face à face avec le plus gros des vingt-et- un bigorneaux du père Noël qui, la regardant de ses zolis zyeux globuleux, lui dit :
- Petite Marie, je viens du ciel et les étoiles entre elles ne parlent que de toi.  

- "Les étoiles ? répondit Marie. Je ne savais pas qu'elles me connaissaient ! Tu m'aurais dit la lune, j'aurais été moins surprise, car je lui rends souvent visite et c'est mon amie. Elle est un de mes refuges préférés. Mais les étoiles, alors là, vraiment ! Remarque, c'est peut-être la lune qui leur a parlé de moi ! Tu crois que je pourrais aller les voir, partir à leur rencontre ? Tu pourrais peut-être m'aider, toi ?"

-"Moi, non, répondit l'énorme bigorneau, en plus on n'a pas tout à fait terminé la tournée avec le père Noël, mais si tu traverses les sept rivières au delà des sept monts, tu arriveras au Marais Indigo. Là il faudra que tu attendes la nuit tombante. Quand elle viendra, sifflote "au clair de la lune" et un drôle de petit animal arrivera : c'est l'hypocampelephantocamelos du marais. Dis lui que tu viens de ma part. Je crois que lui, il pourra t'aider. Mais vas-y tout de suite, la route est longue et pleine d'embûches. Sois prudente, cela peut être dangereux. Tiens, prends ce petit sac avec toi, il contient de la bave de bigorneau. Tu verras, cela te sera très utile. Surtout ne la perds pas, c'est précieux !... 

Merci, je garde le petit sac, mais je ne sais pas à quoi va me servir la bave de bigorneau. C'est l'hypocampelephantocamelos qui va m'expliquer ? J'ai hâte d'arriver au Marais Indigo . Mais pourquoi faut il attendre la nuit tombante ? ....... 

C'est simple, le bruit va nous guider. 

Marie, en enfant sage, remisa le petit sac dans sa poche. Par mégarde, elle trempa sa main dans la bave de bigorneau. Carambistouille ! Où s’essuyer ? Pas sur sa jolie robe. Elle décida de sucer ses doigts.
Oh ne faites pas la moue, vous en auriez fait de même.
« Hum ! La bave de bigorneau, c’est meilleur que le sirop de fraise » pensa-t-elle. Mais ces pensées s’arrêtèrent là car une force prenait possession de son esprit.

La bave de bigorneau a cette faculté de prendre possession des esprits quand elle est sucée , et elle ne le savait pas . Mais, pour la 1ere fois, un nouveau monde s'ouvrit à elle.

Elle plongea sans peur dans les flots indigos du marais indigo et là, surprise .... C'est Neptune en personne qui lui tendait sa fourche (enfin son trident quoi, elle ne connait pas trop l'histoire antique la pauvrette !)
OH, mais je te connais toi! Je t'ai déjà vu dans la petite sirène! Mais je ne me souviens plus très bien si tu es un méchant ou bien un gentil! Dis, tu pourra m'apprendre à danser comme le bernard-l'ermite! C'est mon préféré dans le film! Tu sais quand il tortille sa coquille pour danser le mambo! Dis, tu sais, toi, danser le mambo ! Pour faire rire mes copines !

Et Neptune partit d'un tel rire que les flots se soulevèrent,  en tourbillant autour de Marie qui dansait. Et le rire devint chant, des sirènes accompagnèrent la danse, prenaient sa main, l'entraînaient encore plus fort, plus loin dans les fonds colorés de milliers de bigorneaux.

Neptune cessa de rire et la regarda en ouvrant de grands yeux étonnés : devant lui un bigorneau parlait avec une voix de petite fille. Marie ignorait encore les effets secondaires de la bave de bigorneau et ne s’était pas aperçue de sa métamorphose.
Ce qui étonnait le plus le bon Neptune c’était surtout qu’un bigorneau irrespectueux lui demande de lui apprendre à danser le mambo, de plus pour faire marrer les copines.
Retenant une colère qui commençait à lui rougir les oreilles Neptune appela deux des poissons lunes qui composaient sa garde personnelle.
Les poissons lunes ayant trop fêté la nouvelle année étaient complètement ivres... Ils arrivèrent  malades et verts, pour des poissons lunes pas terrible... Neptune  se mit à gémir "mais pourquoi sont-ils tous contre moi. Entre les bigorneaux et les poissons lunes, c'était la galère .....

Le roi des mers était encore en train de se lamenter sur les effets négatifs des fêtes sur sa propre armée lorsqu’il vit arriver une sirène resplendissante.

- Bonjour Seigneur Neptune, c’est le Père Noël qui m’envoie, je suis à la recherche d’une petite fille qui se prénomme Marie, l’auriez-vous vue dans votre royaume ?
- Heu… non ! dit-il en jonglant avec le bigorneau. Pas vu de petite fille !

La sirène regarda Neptune d'un air méfiant car elle le savait capable de fourberies, nombre de ses amies s'étaient retrouvées transformées en vulgaires sardines par lui...
" Es-tu bien sûr de ne pas avoir vu de petite fille ?" redemanda-t-elle au dieu des mers, il me semble sentir comme un parfum de bave de bigorneau chez toi...

-Si, si, c'est moi qu'elle recherche, la sirène resplendissante ! brailla la bigornette-fillette ! C'est à cause de la salive de bigorneau, ce qui m'arrive ! Mais je veux retourner à l'école, maintenant ! S'il vous plaît ! Qui va me réveiller ? Où est passé mon prince charmant ?

Tout à coup la petite fille entendit son prénom au loin "Marie Marie Marie"
Ses yeux lui faisaient mal, sa tête aussi. Malgré tout elle ouvrit difficilement les yeux et vit au dessus de sa tête la maîtresse et tout autour elle distingua un attroupement d'enfants, elle réussit à reconnaitre les enfants de l'école. Ils la regardaient ébahis.

Marie était étendue en bas du muret, elle compris qu'elle avait dû tomber..

Où est mon prince charmant ? répétait-elle.
Toujours à charmer par monts et par vaux, jamais là où on a besoin de lui...
Prince charmant, je veux retrouver ma maman ! 

La sirène, les élèves attroupés autour d'elle, la maîtresse avec son trident, les bigorneaux qui dansaient, tout s'emballait dans sa tête...

Elle commencait à comprendre...


"On a prévenu ta maman, elle va venir, ne t'inquiète pas, tu es simplement tombée de ce petit mur et tu délires un peu. Tu nous racontes des histoires de licornes et de bigorneaux, de princes charmants et bien d'autres choses encore mais c'est parce que ta tête a cogné le sol , ne t'inquiète pas ma chérie ..."
Mais si justement, ça m'inquiète ! C'est beaucoup mieux dans ma tête que dans la vôtre ! et arrêtez de me regarder comme ca ! ça commence à bien faire ! je veux retomber du mur pour retourner où j'etais. Laissez-moi tranquille !

Elle commencait à comprendre qu'à trop vouloir comprendre les choses d'ici- bas, on finit par ne plus rien vivre dans l'instant. `Mais qu'en même temps, il y a toujours une leçon à tirer de ce qu'on vit... Point besoin d'aller chercher très loin. Il suffit de se poser et de regarder "d'en haut " ... alors là, tout s'éclaire :` les choses n'arrivent pas par hasard, les rencontres non plus, et en relisant dans sa tête toute son histoire, les choses et les évènements commencèrent à prendre un sens tout particulier.

Un sens interdit se dit-elle, c'est complétement insensé, ça va dans tous les sens...

Epilogue

Sens unique. Celui de l'innocence et du rêve. Celui de l'imaginaire et des voyages.
Marie reprenait ses esprits. Elle voyait tous ses camarades penchés sur elle, inquiets. Des camarades qui l'avaient exclue. Des camarades qui n'avaient pas compris son besoin de voyages et de magie. Ils la pensaient différente et "bizarre" et, sans chercher à comprendre, avaient poursuivi leurs jeux bien insipides en l'ignorant.
Marie n'était pas une demeurée. Elle savait très bien que son imagination lui faisait voir toutes sortes de créatures mais c'est elle qui décidait quand les voix se tairaient et quand elles continueraient à l'emporter. Les moments de récréation étaient une épreuve pour la petite fille qui sans cesse se faisait rejeter. Heureusement, les sirènes et les lutins, Neptune et les bigorneaux, les elfes et les coquillages ne la laissaient jamais tomber dans ces instants douloureux où elle aurait bien voulu parler à quelqu'un mais où tous refusaient de lui tendre la main.
Marie sourit. Aujourd'hui, elle a découvert l'amitié. La vraie. En la personne du petit Pierre. Le petit garçon avait vu. Il avait vu les choses, senti les choses, comme Marie. Il ne l'avait pas jugée. L'instant d'un regard, il lui avait ouvert ses bras. Le temps d'un battement de cils, Marie, la douce et jolie Marie, venait de lui ouvrir son coeur de petite fille. Celui qui n'attend rien, celui qui donne parce que les sens le commandent et que la raison n'a pas sa place.
Petit Pierre, son prince, ne charme plus par monts et par vaux. Il a choisi Marie et c'est désormais à l'unisson que leurs deux coeurs battent désormais.
La chute est déjà un mauvais souvenir très vite oublié. Elle tend la main à Pierre et tous deux se mettent à arpenter la cour de récréation en regardant le monde de haut, de très haut sans se contenter de ce qu'il offre. Ils savent bien qu'à leur âge, ils peuvent encore se le permettre.


Merci à vous tous sans qui cette histoire n'aurait jamais vu le jour et à demain, si vous le voulez bien, pour l'exquis bêtisier.
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
L
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce conte collectif, très beau, plein de rêve et de douceur !Bravo chana pour cette initiative.
Répondre
S
J'ai toujours adoré les cadavres exquis, qu'il s'agisse de dessins ou d'histoires. Je ne suis pas sûre d'avoir eu l'occasion de reparticiper à ce genre de jeu de puis l'école (pour tromper l'ennui sur ses banc !). Mais déciment, les résultats inattendus et saugrenus qui en émanent, me régaleront toujours (au moins autant que la bave de bigorneau !).
Répondre
C
Je suis ravie de t'avoir fait retrouver les bancs de l'école le temps d'une histoire. Oui, tout est inattendu et....saugrenu ici. Et encore.... je te trouve gentille.
P
2008 promet dêtre un millésime  exeptionnel vu ce départ en fanfarebonne soirée
Répondre
C
Mais j'y compte bien cher Pol. C'est à vous tous que je le dois.Passe une bonne journée.
R
Bonsoir chana, voila une superbe histoire, il faut dire que beaucoup ont eu de l'imagination, et quelle chance cette petite fille de faire un joli rêve comme celui ci. Bisous bonne soirée je vais lire maintenant le bétisier
Répondre
C
Oui, je confirme aussi. Les rédacteurs ont beaucoup d'imagination et j'ai grand plaisir à les lire lorsqu'ils se "lachent" ainsi.
C
Merde, alors !......z'ai pas pu participer !......z'étais pas là !Mais, promis, à la prochaine histoire, j'amène Bloggy pour foutre un peu la pagaille !!!!
Répondre
C
Bon, je vais prévenir les potes de ton arrivée future en fanfare avec Bloggy. Ce sera un moment inoubliable, j'en suis sûre.